[Pélerinage au trinquet de Saint Jean Pied de Port]
Un week-end de rêve. Eprouvant à l'apéro et sur la cancha, mais quand on aime...
Michel, dans le flou
8 heures de pelote sur deux jours, pas mal !
La dream team au complet. De gauche à droite : Olivier, dit Olive, dit Jeff, dit Jess, dit le Polonais / Guy, dit Guitou / Manu, dit Manu / Michel dit Miche, dit Mitch, dit "c'est-pas-payé")
Ce fut un plaisir de jouer dans le plus vieux trinquet du pays basque (donc du monde).
Les tribunes ouvragées en bois ressemblaient aux balcons que l'on trouve dans les églises d'Euskadi.
Le trinquet de l'entre deux guerres.
Edouard Mayté, notre guide, nous a confié que l'édifice avait résisté à un incendie et une inondation.
Guitou au service. Si je racontais ne serait-ce que l'une de ses blagues désastreuses, ce blog serait aussitôt déclassé sous la rubrique porno-cul-caca-pipi.
> Pour voir toutes les photos, c'est ici
> Nous étions logés ici : http://www.hotels-basque.com/hotel-pecoitz/
Une
adresse pour les amoureux du véritable pays basque, nichée dans le
petit village d'Aincille, à une encablure de Saint Jean Pied de Port.
Très belle vue depuis la salle du restaurant. Excellent accueil :
simple chaleureux et... copieux.
Une adresse où les pelotari sont
"parrrrticulièrrrement bien rrreçus" (prononcer les R comme si vous
alliez cracher au visage de votre interrrrlocuteur. C'est ça l'accent
basque).
Mention spéciale au chef cuisinier et gérant, Baptiste
Pecoïtz, pour son excellente omelette aux cèpes et son coup de droit
qui colle la pelote au tambour.