[Les "terribles du Bassin", battus mais pas vaincus]

L'équipe Rulier/Jampy a donc été stoppée en finale du tournoi de pelote pleine de l'Akitania, battue par l'équipe Heilles/Oudard, sympathique et plus forte. Ce jour là. 

L'arrière régulier de l'équipe adverse tapait fort. Il a balancé des filets gagnants à Patrice, a fait caramboler la pelote comme un malade et m'a débordé plusieurs fois par la droite. Mais le plus difficile pour nous, ce jour là, était d'apercevoir la pelote : pas évident de choper la baballe blanche dans ce trinquet d'honneur transparent... la prochaine fois, nous nous y entraînerons avant.   

Bien sûr, nous sommes déçus. D'autant plus qu'il n'y a pas eu d'échanges. Ou si peu.
Nous aurions aimés que la coupe en plastique rose recyclée des vainqueurs rejoigne ses petites soeurs endormies au-dessus du comptoir de notre club... Ce sera pour une prochaine fois, peut être. 

Quoiqu'il en soit : 

> Je recommande ce tournoi à tous ceux qui souhaitent se mesurer à un max de joueurs : les poules sont longues (nous avons disputé notre premier match en février !) et ça brasse pas mal de monde. 
Le niveau est plutôt bon : nous avons rencontré une seule équipe vraiment débutante en troisième série.

> L'organisation est sérieuse et l'ambiance assez bonne, malgré l'attitude de quelques joueurs "à grosse tête" qui partent déçus d'avoir perdu, vous serrent la main du bout des doigts et refusent de passer par la case "bar". 

> Je tiens à féliciter Patrice Jampy pour sa ténacité et son jeu régulier tout au long de ce tournoi : ni lui, ni moi n'avions disputé de championnat à l'extérieur et nous n'avions jamais joué ensemble. 
(Patrice, pour un autre tournoi, ailleurs, dans un trinquet d'homme tout en moellons et poutres apparentes, c'est quand tu veux !) 
Merci aussi à Brigitte, Stéphane et Miche venus nous encourager lors de cette finale. 

> L'aventure continue : si Olivier Wisniewski, my regular front, est d'attaque, il se pourrait bien qu'on envoie des copeaux de bois de pala dans ce même tournoi, en février. A suivre...